GENNART Luc
Echevin des voiries – Colonel aviateur retraité
Erpent
Qui suis-je ?
Qui suis-je ?
Je suis né le 29 mai 1959 à Woluwe-Saint-Lambert. J’habite à Erpent (Namur), suis marié, papa de 6 enfants (4 filles et 2 garçons) et grand-père de 7 petits-enfants.
Je me sens proche de la nature au milieu de laquelle j’aime pratiquer la marche et partir en randonnée. J’adore passer une partie de mon temps libre au jardinage.
J’ai effectué une carrière complète au sein de la Défense belge en tant que pilote de chasse sur F-16. Ma dernière fonction militaire est celle de Commandant de la base de Florennes. Depuis décembre 2012, j’exerce la fonction d’Echevin à la Ville de Namur. Pendant 10 ans, j’ai été également Conseiller provincial et Président de la section locale du MR.
En quelques mots, mes priorités sont :
Voici quelques-unes des matières techniques que je traite au quotidien, en tant qu’Echevin au service des citoyens depuis bientôt 12 ans :
Les voiries : en 2014, sous mon impulsion, la Ville de Namur a adopté un Plan d’entretien des voiries à long terme (50 ans). À l’échelon wallon, Namur est pionnière en la matière. Cet outil vise à maintenir ou à remettre en bon état l’entièreté des 1.400 voiries communales tout en maîtrisant les dépenses publiques. En 2022, le taux de routes et rues namuroises entretenues s’élevait à 72 %, soit une hausse fulgurante de 40 points en 10 ans !
La piétonisation : en 2018, j’étais le premier mandataire communal à proposer le projet de piétonisation du centre-ville de Namur. Aujourd’hui, ce projet a fortement gagné en popularité et sera bientôt une réalité : les premiers coups de pelles seront donnés au printemps 2024. Si je continue à soutenir le projet du piétonnier, c’est parce que je le considère comme un véritable jalon du futur visage moderniste de Namur, notamment en termes de mobilité et de rencontres.
La gestion des eaux : en réponse aux inondations de juillet 2021, j’ai lancé le Plan de gestion des eaux de ruissellement. Il a impliqué une concertation avec tous les acteurs régionaux et locaux concernés, afin d’établir un cadastre précis du réseau d’égouttage, et surtout, de l’écoulement des eaux. Grâce à la simulation numérique des bassins versants, ce cadastre permet d’éliminer les goulots d’étranglement, de créer des bassins d’orages et, in fine, de limiter au mieux l’ampleur des inondations.